Radars, démagogie et débilité sociale .

Nous sommes bien d'accord : si vous avez des stagiaires suite à une sanction, c'est alors qu'un système répressif est en place. Le procureur fait un pari, celui de la pédagogie. Au formateur d'essayer de susciter des réflexions auprès de son publics. Certains vont jouer le jeu, et vont effectivement partir avec des réflexions. D'autre pas. Alors le système répressif réinterviendra pour ceux là.

Ce que je trouve particulièrement intéressant dans votre intervention, c'est la notion de "savoir vivre" (ou de savoir être). Dans certains types de stages, je rencontre un public, et l'idée est de travailler sur les représentations. Un atelier permet de réfléchir aux images qui nous viennent à l'annonce de mots. Depuis que je fais cela, je suis surpris par certains conducteurs qui sont secs lorsqu'on leur demande (par écrit, et dans des conditions définies) ce qu'évoque pour eux la notion de société !! Notre système n'est pas du tout perçu comme tel, et de fait chacun est irrité par ce qu'il ne peut pas (ou plus faire) alors qu'il en a envie pour des raisons (très personnelles et non partagées par les autres) de satisfaction personnelle (gain de temps, décrasser les injecteurs, se faire plaisir ....)
Parfois, on obtient le fait que l'infraction peut ne pas être partagée par les autres usagers, voir les agresser ....

En fait, je pense que l'on a un problème de représentation sociale, et d'ouverture à l'autre. De civisme quoi !
On se soucis globalement plus de savoir comment contourner la règle que de chercher à savoir pourquoi elle existe !
Ce qui m'amène au sujet de départ sur les panneaux et les différents appareils électroniques. Si je cherche à comprendre (et lorsque l'on va sur ce terrain, les stagiaires ont des productions très riches et intéressantes), alors on donne du sens. Ils sont capables d'évoquer la sécurité bien sûr, mais aussi l'harmonisation des comportements, l'approche sanitaire (pollution, pollution sonore ...), l'approche dynamique (plus difficile de s'insérer dans un flux de circulation de 90km/h que de 70 km/h), de comportement inter-usagers ....
Comme globalement le Français est râleur (relisez Astérix), et que son environnement ne l'aide pas (orientations médiatiques, mais qu'il faut "diffuser très largement" ...., c'est d'autant compliqué de se mettre à réfléchir.

Maintenant, si vous trouvez des portes d'entrée pour intervenir dans ce cadre, et que l'efficacité de vos actes de formation se vérifie rapidement et fiablement sur le terrain, alors poussez cette porte, et proposez des produits de formation (et profitez en pour les vendre à un prix décent*, pas à un prix "auto école !!!).

Mais ceci n'engage que moi
Laurent

* je vends la semaine prochaine un produit de formation d'une journée à une entreprise, avec une probable conclusion de contrat pour septembre ou octobre au prix d'environ 8 à 10 heures de leçon voiture, sans investissement lourd, et sans voiture. Je dois faire mes preuves au sein de cette entreprise (ce qui ne m'inquiète pas) et je vais devoir préparer un support pédagogiques et des documents-stagiaires (cela ne m'inquiète pas non plus). Mais n'importe quel enseignant peut le faire, pour peu qu'il investisse du temps et de l'énergie. Je pense rentrer dans une logique non répressive, de sensibilisation et de réflexion auprès d'un public usager de la route ...

juste pour mettre quelques chiffres a l'esprit . Un radar fixe coute aujourdh'ui
8O OOO euros , il y en a actuellement 1825 sur les routes en France qui ont " rapportés" 465 millions d'euros a l'état . Bilan 2OO9 des accidents de la route,4273 personnes tués a 30 jours ,90934 bléssés dont 33323 hospitalisés cout de l'insécurité routiere en 2009 23,7 milliard d'euros supporté par la société donc nos impots . Donc je ne peux aller que dans le sens de laurent les radars sont bien un impot sur la connerie

Diarrhée journalistique aiguë, çà pique !

Répression routière : un business et une escroquerie morale 974 millions d'euros de butin en 2010

A l'image des
mystiques dérangés de l'Inquisition, ces gens-là, qui se sont
autoproclamés responsables de nos vies et mœurs, entendent châtier les
usagers de la route afin d'extirper le péché de leur comportement, par
la coercition, la répression, la contrainte et le racket. C'est pour
notre bien, nous explique-t-on, parce que la vitesse tue… Une belle
absurdité, car la vitesse est une notion relative dont on ne peut juger
que par rapport à l'espace dans lequel on évolue, l'environnement avec
lequel on interagit. Rouler à 40 km/h peut s'avérer extrêmement
dangereux pour une mobylette en configuration urbaine, dans un
environnement truffé d'obstacles qui provoquent des impacts destructeurs
en cas de chute. Filer à 150km/h, voire plus, sur autoroute, par temps
sec, avec une vision largement dégagée et une circulation fluide, ne
présente pas plus de risque qu'une évolution beaucoup plus lente sur une
départementale sinueuse, où la visibilité est limitée. Quant à la
nature de l'homme, tous les châtiments imaginables ne la changeront pas,
elle est faillible… pour y pallier, nous avons inventé le progrès.
C'est ce progrès technologique qui a fait de nous de meilleurs
utilisateurs, parce que les véhicules modernes sont plus efficaces et
pardonnent nombre d'erreurs de pilotage qui envoyaient fatalement dans
le décor nos prédécesseurs. Et même en cas de perte de contrôle, la
structure des véhicules dans sa capacité de déformation contrôlée et
maîtrisée joue un rôle de sanctuaire protecteur pour les passagers…
Quand 2 CV et 4L étaient des cercueil à roulettes. L'extraordinaire
amélioration des véhicules est principalement responsable de la baisse
de la mortalité routière ; en 2010 on a déploré 3.994 morts, une donnée
à mettre en comparaison avec les 16.545 décès de 1972…
Cette répression féroce qui transforme les usagers en gibiers de potence
Alors certes, dans un Etat policé, il est normal de respecter les lois
de façon à préserver la sécurité et la liberté de chacun. Limiter la
vitesse maximale tombe sous le sens, quand cela est nécessaire, en
fonction de la nature du réseau, et des conditions d'évolution
autorisées par l'environnement, les infrastructures, la densité du flux…
Mais prétendre imposer en tous lieux et par tous les temps des limites
normatives arbitraires est absurde. Tout comme l'est cette répression
féroce qui transforme les usagers en gibiers de potence, en criminels
latents, qu'il faut pourchasser par tous les moyens : radars fixes,
mobiles, embuscades, dissimulation, contrôles exercés dans des lieux peu
susceptibles d'être « accidentogènes », policiers planqués à la sortie
des restaurants, permis à point 100 % malus… criminalisation de l'usage
de la communication téléphonique…
Nous ne traiterons pas des excès
alcooliques et de la consommation de drogues qui influent effectivement
sur les capacités des conducteurs, encore que les doses d'alcool
aujourd'hui considérées comme « limites » laissent à penser que l'on
tend à passer du souci sécuritaire à l'exploitation d'un filon
financier.
La thèse de la vitesse qui tue, sur autoroute notamment,
avec l'invention du délit et bientôt du crime de grand excès de vitesse,
est disqualifiée dès que l'on se déplace des autoroutes de France aux
autoroutes d'Allemagne. Là-bas, la vitesse n'est pas limitée dans
l'absolu, exception faite de zones clairement déterminées, mais on n'y
meurt pas plus qu'en France. Les lois physiques seraient-elles
différentes de l'autre côté du Rhin ? Ce serait bien étonnant.
En
sus de l'hypocrisie de ceux qui nous rackettent sous prétexte de
sécurité, il convient de dénoncer la haine du progrès que manifestent
certaines associations de bienfaiteurs autoproclamés adeptes du dogme
répressif.
L'un des ancêtres de cette incapacité à concevoir
l'évolution technologique fut Georges Sarre, l'un des fondateurs du PS,
secrétaire d'État aux transports routiers et fluviaux de 1988 à 1993,
dans les gouvernements de Michel Rocard, Édith Cresson et Pierre
Bérégovoy. Nous lui avions demandé, du temps de son ministère, pourquoi
il ne rendait pas l'ABS obligatoire sur les automobiles histoire de les
rendre plus sûres. Le terme ABS lui parut furieusement exotique… Il
fallut en expliquer le sens. Ayant finalement compris qu'il s'agissait
d'un dispositif d'anti-blocage des roues qui améliorait l'efficacité du
freinage, il nous lança : « Mais si vous leur mettez de bons freins… ils
iront encore plus vite ! » Sa pensée ainsi résumée, M. Sarre avait fait
la preuve de sa totale incompétence et rejoint la triste cohorte des
ânes qui ont illustré notre histoire. Avec des Sarre et consorts, nous
en serions resté à l'âge de pierre, au chariot et à la pirogue monoxyle.
Le progrès technologique importe peu aux fanatiques qui vont jusqu'à
exercer des pressions électorales sur les élus, et gouvernements quand
ils ne représentent qu'eux-mêmes et ne sont dotés d'aucun mandat. Le 19
janvier 2011, quand le Sénat a voté l'assouplissement des procédures de
récupération de points sur le permis de conduire, qui faut-il le
rappeler, fonctionne à 100 % au malus, ils ont postulé que ce serait «
d'un effet immédiat sur des humains […] qui savent qu'ils peuvent
maintenant « rouler en paix ». Ce sont leurs conceptions du risque qui
vont à nouveau commander leur comportement et non plus la nécessité
imposée de respecter la loi… » Selon ces maniaques, tout gouvernement
qui ne renforce pas l'arsenal sécuritaire provoque une hausse mécanique
de la mortalité routière, car pour « tenir » ces tarés d'usagers, il
faut les soumettre à une crainte permanente, à une forme de « terreur ».
Sans que les justiciables puissent se défendre
Moyennant quoi ils ont décrété la culpabilité et l'incapacité du
gouvernement dès les mois de janvier et de février, du fait d'une légère
hausse des accidents de circulation… Il est vrai que les conditions de
circulation hivernales ne sont pas ce qu'il y a de mieux en termes de
sécurité… les intempéries, la neige, le verglas étant difficiles à
éluder. Qu'importent la réalité et le milieu, pour des associations qui
ont une fois pour toutes décrété que tout individu devient un crétin
doublé d'un criminel dès qu'il se met au volant ; crétin car incapable
de parler et de conduire simultanément comme le postulent avec un aplomb
déconcertant les grands mamamouchis de la Prévention routière qui ont
para-scientifiquement établi la chose suivante : « Avoir l'appareil en
main ou converser avec un kit mains-libres revient exactement au même :
l'inattention et le risque qui en découle, persistent… ». Il faudra
baîllonner les passagers bientôt… et imposer le silence aux pilotes des
avions.
Les mêmes qui prônent le bridage des véhicules sous prétexte
de sécurité : « La limitation de la vitesse à la construction est une
mesure de prévention des vitesses excessives qui a été mise en œuvre
pour les cyclomoteurs, les tracteurs et plus récemment pour les poids
lourds… ». Il suffit de voir les résultats obtenus : les cyclos sont les
premières victimes de la mortalité, plus lents que le flux, ils sont
soumis aux évolutions des autres qui ne savent même pas comment les
dépasser…
Quant aux camions, ils sont responsables de 12 % des
décès, les victimes étant des automobilistes, piétons, motocyclistes…
Mais que diable, seul le baratin compte et le pognon que cela rapporte.
Police et gendarmerie sont incités à faire du chiffre, à augmenter
l'effort de chasse ; truands trafiquants et délinquants peuvent dormir
tranquille. Les 522 millions d'euros d'amendes forfaitaires radarisées
de 2010 sont répartis de façon plus ou moins fantaisiste. Beau butin
obtenu sans que les justiciables puissent se défendre, car il faut
d'abord payer pour ensuite espérer engager des recours ou une
contestation. Quant au produit des amendes majorées, radarisées ou pas,
il est 452 millions d'euros en 2010.
Tout ce pognon piqué dans nos
poches, bien souvent de façon inique, est très partiellement réemployé à
l'amélioration de la sécurité routière… Le reste fait tourner tout un
business pas très clair dans ses motivations et justifications. Au-delà,
chiffres pour chiffres, que fait-on face à l'hécatombe annuelle des
accidents domestiques : 20.000 morts à la maison, enfants et personnes
âgées majoritairement ; quant à la grippe saisonnière, elle tue de 1.500
à 2.000 personnes par an. Bagatelle pour les ligues de vertu et les
Torquemada de la répression routière, ça ne rapporterait pas un centime…
Satyricon : Philippe Le Claire
pleclaire@journal-lunion.fr

http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/repression-routiere-un-business-et-une-escroquerie-morale-974-millions-deuros-d#top

Chacun est libre de penser ce qu'il veut, et d'aller chercher ses sources où il le veut ! On ne peut pas dire que celle-ci soit scientifique.

Je n'ai pas tout lu cet article; beaucoup trop long, et surtout je ne suis pas public.
Quand je lis que "Cette répression féroce qui transforme les usagers en gibiers de potence" , ça me laisse rêveur ! je l'ai imprimé (sur du papier de brouillon, parce qu'il ne faut pas déconner avec les arbres), je vais le lire posément, mais bon, je sens que je ne vais pas m'y retrouver !! J'ai même l'impression que cette ressource est proche du café du commerce.
Philippe Le Claire est probablement un scientifique reconnu (auprès de ses beaux frères, peut être aussi un peu dans l'Ardennais du sud ?). Ou plutôt une victime de ce système parce que ... (là, il faut lire son torch euh article). Grosso modo, il a perdu des points parce qu'il a conduit comme il le voulait, à la "papa" (ou à l'ancienne mode à l'époque où l'on faisait ce que l'on voulait) et il a le pouvoir d'exprimer sa colère au travers de son article. Pire, il doit le vendre cet article, donc le tourner de telle façon que le lecteur s'y retrouve en tant que victime. Le pire, c'est que l'on coupe des arbres pour cette chose

C'est très simple, le gibier, un chasseur va le chercher là où il est ... Le chasseur de connerie aussi.
Pour ce qui est de la conduite "adaptative", ou au feeling, j'ai longtemps milité pour. Mais je n'y crois plus. C'est extrémement simple : demandez à une demi douzaine de personne de mesurer au feeling la diagonale de votre salle de code, et peut être vous vous rendrez compte de quelques différences ...
Chacun se quallifie bon conducteur, avec des critères complètement subjectifs, et souvent discutables. Mais comment faire ? Si je ne suis pas reconnu professionnellement, si je ne suis pas reconnu dans mon couple... il me reste la voiture. Je m'auto-reconnais, et j'ignore les autres....

Je n'ai rien d'autre à ajouter auprès des gens convaincus si ce n'est que :
- il importe d'être persuadé de ce dont on est certain ;
- La seule certitude, c'est que rien n'est certain ;
- il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé (A.Einstein)
- Le doute est un état mental désagréable, mais la certitude est ridicule. (Voltaire)
- Respecter la règle, c'est respecter les autres.
- Sur notre carton rose, il y a d'écrit "permis de conduire". Mais au fait, ça veut dire quoi, "conduire" ???

Je persiste et je signe, il s'agit bien d'un impôt sur la connerie.

Tout ceci n'engage que moi...
Laurent

En fait, j'ai lu trop vite le titre de Padpanik : je suis de son avis, il s'agit bien d'une diarrhée journalistique.
974 millions d'euros en 2010 ???
Je suis très content de ne pas avoir financé cela !!! Quand je pense qu'il suffit de mettre son cerveau sur ON pour ne pas y participer.
Heureusement que sont les autres qui ont contribué à cette mascarade. Ceux pour qui, justement, le système est fait . Enfin, je crois ...

Bon courage à eux !
Laurent

Oui, je suis clairement exaspéré par cet article !

Laurent a écrit:Philippe Le Claire est probablement un scientifique reconnu (auprès de ses beaux frères, peut être aussi un peu dans l'Ardennais du sud ?).

les pauvres ardennais, faut les excuser ! Avec la construction récente de l'autoroute gratuite, c'est 50 ans de progrès et d'évolution de l'espèce et des moeurs qui leur ont sauté à la figure d'un seul coup .
D'ailleurs au début, çà été une sorte de "rencontre du 3ème type" sur les routes entre l' automobiliste rémois (par nature froid ou agressif) et l'ardennais au style bien rural découvrant à tâtons ce monde inconnu !

Faux radar contre vrais chauffards


LES radars
pédagogiques ? Il y a belle lurette qu'Yvon Maury connaît le concept.
Cet habitant du hameau de Beauvais, à La Noue, est riverain de la
nationale 4 depuis une douzaine d'années. Et il voit passer les voitures
et les camions à toute berzingue au ras des murs de sa maison.
Ça marche très bien…
Il ne compte plus les accidents qui se sont passés dans les environs de
Beauvais : piéton fauché, camion dans une maison, camion qui percute
l'arrière d'une voiture… C'est pourquoi il a eu l'idée, il y a plusieurs
mois, de façonner un mannequin qui ressemble étrangement à un gendarme.
Tête de poupée, vêtements bleu foncé, gilet fluo, jumelles à la main :
on y croirait.
Le retraité, bricoleur de talent et conseiller municipal, sort de temps
en temps ce faux gendarme dénué d'uniforme. Il le plante au coin de sa
maison, au bord de la nationale. Les conséquences ne se font pas
attendre.
Nul besoin d'être un expert pour voir que, comme par magie, camions et
voitures filent tout doux à l'approche du mannequin et de la traversée
du hameau de Beauvais, une portion limitée à 50 km/h.
Lorsque les conducteurs s'aperçoivent de la supercherie, ils ont déjà
suffisamment ralenti. A la grande satisfaction d'Yvon Maury.
« On voit qu'il ne faut finalement pas grand-chose pour que les gens
ralentissent, montre-t-il, le mannequin interpelle les conducteurs,
c'est ce qu'il faut, les gens roulent trop vite ici. J'ai inventé cela
pour la sécurité. »
Hélas, il suffit d'enlever la grande poupée et de regarder le
cinémomètre installé il y a quelques mois au bord de la RN 4 par la
mairie.
« Il faut un radar ici »
Rares sont les automobilistes comme les chauffeurs de poids lourd qui
respectent la limitation de vitesse. Yvon Maury sort moins son faux
gendarme depuis l'installation du panneau, « car le cinémomètre sert à
quelque chose », assure-t-il. Mais il regarde très attentivement les
relevés de vitesse enregistrés par le panneau. Le constat est édifiant.
Ces dernières semaines, seulement 30 % des conducteurs roulaient à moins
de 50 km/h à cet endroit. Et 3 % sont passés à plus de 90 km/h.
« La pointe est à 179 km/h, montre Yvon Maury, il y a la vitesse, mais
aussi les distances de sécurité, les camions ne les respectent pas
souvent. » La solution pour lui : « L'installation d'un radar
automatique qui prend dans les deux sens. Je ne suis pas pour les
radars, mais c'est le seul moyen de faire ralentir les gens. Les bons
conducteurs paient pour les mauvais. »
Et attention : ceux qui se disent qu'ils ne se feront plus avoir par la
marionnette d'Yvon Maury peuvent en être pour leur frais. Régulièrement,
ce sont les « vrais » gendarmes qui contrôlent la vitesse à La Noue.
Guillaume TALLON
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/faux-radar-contre-vrais-chauffards

Sans mettre un mannequin , mais un VRAI gendarme !! ils sont ou nos gendarmes (au frais avec leur gendarmettes ) , moi je n'en vois aucun au bord de la route , s'ils étaient un peu plus présent les comportements changeraient !!

J'ai (enfin) lu le torch... euh l'article signé Philippe Le Claire mis en ligne par Padpanik !!! Impressionnant !
Euh, juste, je n'ai pas trouvé ses propositions !!

Si vous avez le courage, lisez le. Mais n'oubliez pas de tirer la chasse d'eau, et de laisser l'endroit aussi propre que vous l'avez trouvé avant de partir ...

Laurent